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Préparez-vous à lâcher prise : Something Animal est de retour, plus féroce que jamais. Originaire de Paris, ce quintet de chaotic hardcore n’a pas son pareil pour transformer la rage en art brut. Après avoir marqué les esprits avec leur premier EP Urban Zoology en 2019, ils reviennent en 2024 avec un nouveau chapitre explosif : Bestial Curse Part 1.

Ce nouvel EP, premier volet d’un triptyque annoncé, est une véritable déflagration sonore. Dès les premières secondes de Rats, le ton est donné : riffs abrasifs, batterie martiale, et une voix qui lacère l’espace. Les morceaux Hyena, Dove ou encore L.I.O.N. (Losers In Our Nightmare) enfoncent le clou avec une intensité rare, évoquant les grandes heures de Every Time I Die ou Norma Jean, tout en affirmant une identité propre, viscérale et sans concession.

Mais Something Animal, ce n’est pas qu’un mur de son. C’est aussi une écriture instinctive, un sens du chaos structuré, et une volonté de repousser les limites du hardcore traditionnel. Leur musique est un cri, une catharsis, une invitation à plonger dans l’animalité qui sommeille en chacun de nous.

Avec Bestial Curse Part 1, Something Animal ne se contente pas de revenir : ils reconquièrent leur territoire, griffes dehors. Et ce n’est que le début.

Sur la scène du Hellfest le Off by Leclerc CLisson, le groupe déchaîne les foules avec une présence scénique magnétique et une énergie contagieuse. Chaque concert est une expérience immersive, un exutoire collectif où l’on ressort lessivé mais vivant.

À 14h, le parking du Leclerc de Clisson a littéralement tremblé. Something Animal a pris possession de la scène comme une meute affamée, déversant son chaotic hardcore avec une intensité animale. Des riffs abrasifs, batterie martiale, hurlements viscéraux — chaque note était un coup de griffe, chaque break une morsure.

Ce jour-là, au Hellfest le Off by Leclerc CLisson, ils ont prouvé qu’ils étaient bien plus qu’un groupe à suivre : un groupe à vivre.

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